samedi 28 juillet 2012

Résultats du BEPC 2012 par région : Vérités et Véritable classement !




Le vendredi 29 Juin 2012 dans le site Lefaso.net, section info, rubrique société, le Directeur Général de l’Office Central des Examens et Concours du Secondaire a publié le classement des 13 régions du Burkina Faso en fonction de leur taux de succès provisoires au BEPC.

samedi 21 juillet 2012

Et la première du Burkina au BEPC 2012 est ...




Elève au Collège de jeunes filles de Loumbila, elle a obtenu le Brevet d’études du premier cycle (BEPC), session de 2012 avec une moyenne impressionnante de 18,29/20. Un record qui sera difficile à battre. Elle, c’est Ida Susanne Zizien. Accompagnée de ses parents, elle a été reçue par le ministre des enseignements secondaire et supérieur, Moussa Ouattara le 20 juillet 2012. Après l’avoir chaleureusement félicitée, le ministre lui a remis un ordinateur portable en guise d’encouragement.

La Connexion Internet Wifi dans cités universitaires de Ouagadougou : Requête des étudiants .




Après les universités publiques du Burkina (UPB, UO, Ouaga II), le ministre des enseignements secondaire et supérieur était au Centre national des œuvres universitaires (CENOU) le 19 juillet 2012 pour s’imprégner des réalités de l’institution en charge des questions sociales du monde universitaire. Echanges avec le personnel du CENOU, avec les délégués des étudiants des différentes cités universitaires, visite de la cité universitaire de Kossodo, déjeuner au « RU » (Restaurant universitaire) avec les étudiants ont constitué le menu du programme du Pr Moussa Ouattara. Au titre des doléances, toutes les cités universitaires ont souhaité disposer d’une connexion Internet WIFI afin de faciliter les travaux de recherche des étudiants, mais aussi pour être dans l’ère du temps.
Les représentants des résidents des différentes cités universitaires ont pu exposer au ministre des enseignements secondaire et supérieur l’ensemble de leurs doléances. Ce sont entre autres : des problèmes de transport, d’insalubrité, de restauration, de manque d’eau, de plomberie pour la plupart des bâtiments, y compris celui du bâtiment C de la cité Kossodo qui a été réceptionné en avril 2012. De plus en plus, avec l’évolution technologique, beaucoup d’étudiants disposent d’ordinateurs portables.

lundi 16 juillet 2012

Concours directs 2012 de la Fonction publique au Burkina : du 1er au 12 Septembre.



Les candidats aux concours directs de la Fonction publique burkinabè se demandent si l’administration des épreuves écrites aura lieu en juillet comme d’habitude .La réponse est non car, en raison de l’enrôlement biométrique des électeurs qui mobilise non seulement certains agents qui seront impliqués dans l’organisation des concours mais aussi des candidats qui se sont mobilisés pour assurer cet enrôlement , il a été décidé de reculer le calendrier des concours directs pour la période du 1er au 12 Septembre 2012 .
Alors , les candidats peuvent organiser leurs vacances en fonction de ce calendrier et être prêts pour tenter leurs chances à cette compétition pour les postes convoités de la Fonction publique , synonymes de garantie pour une carrière professionnelle par rapport au secteur privé qui recrute autant qu’il licencie selon les humeurs et la conjoncture économique .
Agence Labor Tribune

Résultats contestés du bac F3 : Ces élèves qui veulent un BAC gratuit !




« Nous ne partirons pas d’ici sans notre bac. S’ils ont fait des erreurs, qu’ils les assument. Nous, nous voulons notre bac. » Voici résumé par un quotidien de la place le sentiment contestataire de certains candidats du bac F3 des jurys 73, 74, 75 et 76 du centre du lycée national Sangoulé Lamizana.
Un sentiment de frustration compréhensible quand on connaît les péripéties qui ont marqué la publication des résultats du second tour du baccalauréat session 2012 dans lesdits jurys.

Des sentiments compréhensibles dans la forme mais inacceptables dans le fond parce que ces candidats malheureux manifestaient pour demander aux autorités du ministère des Enseignements secondaire et supérieur d’avaliser des résultats entachés d’erreurs.

Cette volonté des candidats d’être « admis de force » à un examen auquel ils auraient échoué est d’autan plus irrecevable que les résultats d’examen du baccalauréat tout comme ceux des autres examens scolaires et universitaires sont toujours publiés avec la mention « sous réserve d’un contrôle approfondi ».
Ce n’est pas pour une clause de style littéraire que ce bout de phrase est ajouté en début de proclamation des résultats des délibérations des différents jurys.

vendredi 13 juillet 2012

Rêvons certes, mais rêvons logique.





Décidément, la logique est la chose la moins partagée au Faso au point qu’on ne sait plus quoi est prioritaire sur quoi. Au cours du point de presse du gouvernement, on a appris que le ministère de l’Education nationale veut introduire les tablettes électroniques dans les salles de classes pour remplacer les livres. Il faut noter que ces livres d’ailleurs pleins de fautes et d’erreurs arrivent en retard à leurs destinataires pendant l’année scolaire. Sans oublier le déclin lamentable du niveau des élèves. Qui peut le plus peut le moins dit-on. Avant de parler de technologies dans l’éducation, il faudrait au préalable relever le niveau des élèves, les conditions de vie et de formation des enseignants. On aurait compris cette innovation introduite d’abord dans l’enseignement secondaire et après dans l’éducation nationale en tenant compte des difficultés rencontrées avec les collégiens et lycéens pour mieux adapter cette technologie aux classes inférieures. L’introduction des tablettes risque de créer plus de problème qu’elle ne résout avec la situation actuelle de l’éducation au Faso. On nous avait fait rêver que l’éducation est gratuite au Faso et les livres offerts gratuitement. Où en est-on ? Rêvons certes, mais rêvons logique.

lundi 9 juillet 2012









Ce samedi 7 juillet 2012, des candidats au baccalauréat série F3 (électrotechnique) ont bloqué le passage aux usagers de l’avenue Charles de Gaulle à Ouagadougou. Les manifestants protestaient contre l’annulation des résultats du second tour de l’examen, alors que dans un premier temps, ils avaient été déclarés admis. Ils ont été dispersés par la Compagnie républicaine de Sécurité (CRS). Un vrai feuilleton à rebondissements.
Vendredi 6 juillet 2012. Aux environs de 20 heures, une foule de candidats au bac série F3 bloque l’entrée principale de l’Office du baccalauréat. Pendant que les uns scandent dans la nuit « on veut notre bac », les autres, pendus à leurs téléphones, invitent leurs camarades à venir leur prêter main forte. « A 12 heures ce vendredi, résume Mohamed Soura, l’un des candidats, ils (les membres de son jury, Ndlr) ont proclamé les résultats et affiché la liste des admis.

Fondation 2iE : 371 diplomés prêts sur le marché de l’emploi


                   

371 étudiants de la promotion 2012 de la fondation 2iE ont reçu leurs parchemins le samedi 07 juillet 2012 au Palais des sports de Ouaga 2000. Riche en couleurs, la cérémonie était co-présidée par le ministre burkinabè de l’économie et des finances et celui camerounais de l’agriculture et du développement durable. Amis, parents et connaissances des récipiendaires ont très tôt pris d’assaut le palais des sports pour être des témoins privilégiés de ce moment solennel fort émouvant pour les lauréats.
Etablissement bilingue de formation et de recherche, l’institut de l’ingénierie de l’eau et de l’environnement (2iE) a pour vocation de former des ressources humaines compétentes, innovantes et entreprenantes dans les domaines de l’eau, de l’environnement, de l’énergie, du génie civil et des mines.

Université de Ougadougou : Deux profs se trimballent en justice




Deux enseignants de l’Université de Ouagadougou non contents de s’être expliqués dans une démonstration musculaire, se sont convoqués devant le juge. Le Pr A. Y. comparaissait devant le juge pour répondre des coups et blessures volontairement portés sur la personne du Pr G.Z. Le premier est enseignant chercheur à l’UFR/Sciences exactes et appliquées de l’Université de Ouagadougou et le second est le Directeur de l’UFR/Sciences de la vie et de la terre de la même université. 

Forum des jeunes chercheurs: bientôt un répertoire en ligne



La recherche menée dans les centres ou dans les universités est à un niveau dérisoire du fait de l’effritement du tissu scientifique et technique. A la lumière de sa vision, « reconquérir sa place de centre d’excellence africain en matière de recherche socio économique et de gestion », le Centre d’études, de documentation et de recherche économiques et sociales (CEDRES) en partenariat avec le Centre de recherche  pour le développement international (CRDI), met en oeuvre un projet de recherche-action portant sur la situation des jeunes chercheurs dans les institutions africaines de recherche.

dimanche 8 juillet 2012

Bientôt les périples de dossiers de bourses ; un coup d'oeil sur LA GESTION DES BOURSES AU BURKINA...





Il se dit que pour avoir une bourse à l’étranger, il faut avoir "les bras longs". Il se dit aussi que pour un étudiant, le talent et la compétence ne suffisent plus ; il faut avoir le talent de la chance, selon le mot de Hector Berlioz. En fait, dans l’imaginaire populaire, il y a certes des conditions précises (notes, âge, etc.) pour décrocher une bourse au Maroc, en Tunisie, en Algérie, en France ou au Canada mais, ceux qui sont chargés de les attribuer n’en ont cure. Voilà ce que de nombreux Burkinabè pensent de l’attribution des bourses extérieures.

Pour les Nouveaux Bacheliers Interview de Vincent Tiendrébéogo, Directeur général du CIOSPB : Voici les critères objectifs d’attribution des bourses


Le Centre national de l’information, de l’orientation scolaire et professionnelle, et des Bourses (CIOSPB), direction générale rattachée au ministère des Enseignements secondaire et supérieur (MESS) assure de nombreuses missions parmi lesquelles, le placement des étudiants boursiers au Burkina Faso et à l’étranger. Sur cette mission, de nombreux jugements sont faits sur l’octroi des bourses. Au cours de cet entretien, son directeur général, Vincent Tiendrébéogo, a donné des réponses à des préoccupations.
Le Progrès (L.P) : Monsieur le Directeur général, présentez-nous brièvement le CIOSPB et dites-nous ce que vous y menez comme activités.
Vincent Tiendrébéogo (V.T) : Je voudrais avant tout propos saluer votre démarche fort remarquable qui permet non seulement de rendre notre Centre plus visible mais aussi et surtout d’apporter des éclaircissements à notre public sur ce que nous faisons au CIOSPB. Le Centre national de l’information, de l’orientation scolaire et professionnelle et, des Bourses a comme missions principales, l’information et l’orientation des élèves et des étudiants en matière de filières de formation et d’offre d’emplois, l’instruction des dossiers de demandes de bourses et d’aides financières, le placement des étudiants boursiers au Burkina Faso et à l’étranger, le paiement des subventions scolaires versées par l’Etat. Erigé en direction générale en novembre 2007, le CIOSPB est constitué de deux directions spécifiques, la Direction de l’information, de l’orientation scolaire et professionnelle (DIOSP), la Direction des bourses et des aides financières (DBAF), d’une Régie d’avances bourses (RAB) et d’un Service administratif, financier et comptable. La DIOSP mène un certain nombre d’activités dont la finalité est de parvenir à une meilleure connaissance par le public cible des caractéristiques et des enjeux de l’éducation et de l’emploi, à une meilleure connaissance des cursus de formation, à une meilleure adaptation des choix d’études et de professions au niveau des apprenants et des diplômés, à la réduction de la déperdition scolaire, à la diffusion des techniques de recherche d’emploi, à l’élaboration et la diffusion des supports d’information.
La DBAF est chargée entre autres de la préparation technique des dossiers de demandes de bourses et d’aides financières en vue de la tenue des sessions de la Commission nationale des bourses d’études et de stages (CNBES). Elle veille également au suivi et au placement des boursiers inscrits au Burkina Faso et à l’étranger, ainsi qu’à l’exploitation des bourses étrangères mises à la disposition du Burkina Faso. La Régie d’avances bourses est chargée de la gestion administrative et financière des boursiers scolarisés au Burkina Faso et à l’étranger. Pour ce faire, elle élabore et exécute le budget annuel des bourses et des allocations scolaires, établit les états de paiement, assure la bancarisation des bourses et traite toutes les demandes des boursiers relatives aux allocations scolaires telles que les frais médicaux, les frais de matériel, les demandes de titres de transport, les frais de scolarité, les frais de diplôme. Enfin, le Service administratif, financier et comptable assure les opérations administratives, financières et comptables, ainsi que la gestion du matériel mis à la disposition du CIOSPB.